Six mois plus tard, voici la suite de l’histoire. Avec 100% plus de folie extraterrestre!
Si les deux premiers épisodes ont été finis de manière complètement chaotique, celui-ci s’est étonnamment bien passé : les graphistes étaient disponibles (ce qui est rare), Orties a été aussi rapide qu’un être humain peut possiblement être (son secret est le thé, paraît-il) en faisant pas mal d’assets d’un coup, et la version française était prête pour la Japan Expo cet été. Du coup, à part quelques petits bugs et bosser sur la traduction anglaise, il n’y avait plus grand-chose à faire. Aussi, cet épisode est un poil plus bref parce que je conserve notre énergie pour les grosses scènes de l’Episode 4 mais je ne peux pas en dire plus !
Dans cet épisode, la mission de Khzi se corse : le Grand Prêtre qui dirige le temple veut ses compagnons morts ouf vifs ! Pourra-t-elle retrouver les fragments de météorite tout en protégeant l’esclave recueilli sur son chemin ? Vous le découvrirez bien assez vite ;).
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J’avais quelques doutes au début mais maintenant, j’en suis à peu près sûr : J’ai quelques problèmes avec la façon dont est écrit Taro. Pour faire simple, j’ai du mal à cerner sa personnalité : l’intro du premier épisode et l’avant-dernière scène de l’épisode 3 avec Makuro sont aux antipodes pour moi. Je crois pas vraiment me tromper en pensant que la première scène est là pour établir le fait que Taro établit assez facilement une certaine distance entre lui et les autres et c’est un euphémisme. C’est donc pas très difficile de comprendre pourquoi j’ai du mal avec l’idée qu’il donne des conseils sur le plan relationnel à Makuro. Après, je pourrais comprendre que tout ça arrive sous l’influence de la Fée mais j’aime pas vraiment cette idée. Ou alors, il y a la possibilité que le Taro du début n’intervient que pour les choix et que celui qu’on voit la plupart du temps est le jouet du scénario de « Elle » mais j’imagine que je devrais éviter de faire trop de théorie pour le moment.
Pas grand chose d’autre à dire, l’intrigue commence à se développer grâce à Mika et à Khzi et aux sous-entendus de la Fée des Dimensions. J’aurais bien aimé plus de détail sur l’histoire de l’esclave même si je pense que ce qu’on a pour le moment est largement suffisant. Et bien sûr, bonne continuation.
Hum, qu’est-ce qui te dérange exactement ^^ ? Le fait qu’il soit présenté au tout début comme asocial et pessimiste mais qu’à la fin on le voit discuter de manière plutôt joviale ?
Dans ma tête, Tarô établit en effet une distance avec les autres. Aussi bien physique que psychologique. Ce qui ne l’empêche pas d’être capable d’être amical. Surtout qu’au fond de lui, il reste gentil et attentionné, même si très « awkward ». J’ai du mal à trouver les mots exacts pour décrire ma pensée mais en gros, il ne lève pas la barrière dans cette scène, puisqu’il n’est jamais question de lui (sinon sur le mode de la blague) mais de Makuro. Tant qu’elle ne s’intéresse pas de trop près à lui, il n’a aucune raison de fuir la discussion, surtout qu’il a déjà commencé à s’habituer à sa présence (et à celle des autres vaches). Et comme le début de la scène l’indique, il est surtout surpris par le changement de ton de la jeune fille, ce qui lui donne envie d’en savoir plus. La curiosité aidant, il baisse un peu sa garde et se laisse prendre au jeu. Tu le soulignes : c’est ironique de voir un asocial conseiller une autre asociale. Ca montre que Tarô est certes un grognon de première mais que, confrontée au point faible de son interlocuteur, il s’oublie et pense à l’aider.
D’une certaine manière, le héros illustre bien le syndrome du hérisson : il a peur des autres parce qu’il a peur d’être blessé à leur contact, mais ça ne veut pas dire qu’il ne désire pas une forme de contact avec quelqu’un. En temps normal, il n’aurait pas pu discuter avec Mauro comme ça, mais la situation s’y prêtant…
Après, pour la petite anecdote, il faut savoir que cette scène a été écrite pour se situer au début de la route de Makuro à la base et que j’ai préféré la déplacer pour renforcer les interactions de la common route (histoire que Tarô ait globalement un moment seul avec chacune des filles). Donc il est possible que ça dénote un peu. Si tu as des suggestions pour corriger ça, je suis preneuse ^__^.
Pour ce qui est de l’influence de la Fée, je préfère l’utiliser avec parcimonie, sinon je pense que ça va vite devenir incompréhensible X’). Ce serait un peu de la triche si tout se justifie comme ça. Et puis, il y a déjà un autre personnage qui est de temps en temps sous le contrôle d’une puissance extérieure…
Au niveau de l’esclave, quel genre de détails aurais-tu aimé lire =O ? J’avais l’impression d’en avoir dit suffisamment sur son passé dans cet épisode donc si je dois corriger légèrement le tir, ça m’intéresse aussi !
Merci pour ton commentaire en tout cas 😉
Quand on voit les choses comme ça, c’est un peu plus logique j’imagine.
Mais je pense que la scène avec Makuro est pas vraiment clair sur le côté « exceptionnel » de la situation mais mon problème venait surtout de ma difficulté à cerner le personnage, j’imagine.
Pour la place de la scène, je pense que c’est une bonne scène « en tête à tête » avec Makuro (et à moins de connaître le script, je pense pas être capable de trouver quelque chose qui pourrait aussi bien marcher), surtout parce qu’elle présente plus en profondeur le personnage.
Pour l’esclave, disons que dans ces cas-là, je préfère avoir une très longue introduction qui montre à quel point le personnage est heureux, vie dans un monde remplie de fleur et de papillon parlant qui te donne le diabète avec leurs chansons sur la joie de vivre.
Et puis les pirates.
Pour ce qui se passe après sa capture, j’imagine que j’ai apprécié de la mauvaise façon la façon dont le pauvre garçon est brisé. Mais après tout, j’ai trouvé qu’Ambre était drôle.
Parfois, je me demande si je suis un monstre. =)
Le mieux, ce serait que j’arrive à transmettre mon intention au lecteur quand-même ! J’y travaille mais c’est loin d’être parfait :p.
Ah ouais, tu aimes quand c’est glauque (ça me rappelle Orties). Parce qu’Ambre c’est pas spécialement réjouissant pourtant =’). Pauvre personnage, tu veux faire durer ses souffrances ? Moi qui pensais qu’il fallait que je me calme au niveau des trucs dépressifs…